Les réunions Perspectives, un temps fort de la fin de campagne : zoom sur Arcis-sur-Aube

# ENGAGES EN PLAINE

Organisées chaque année en fin de campagne, les Réunions Perspectives sont l’occasion pour les coopérateurs de Cristal Union de faire le point, par section, sur les moments forts de la campagne, les avancées agronomiques, et les conditions de rémunération des betteraves.

Cette année, Christophe Masson nous partage les coulisses d’une réunion tenue, mi-décembre, dans son bassin betteravier. Un moment d’échanges qui a réuni une quarantaine de coopérateurs Cristal Union, mais évidemment dans le strict respect des gestes barrières.

« Je fais partie du Conseil de section d’Arcis-sur-Aube, explique Christophe Masson, mais pour les agriculteurs qui n’en font pas partie, la Réunion Perspectives c’est d’abord l’occasion de bénéficier de toute une somme d’informations de la part du service agronomique. » Pendant la première partie de la réunion, Christine Mary a ainsi évoqué les choix variétaux, Hervé Moriat a détaillé les solutions insecticides et fongicides disponibles, et Michaël Denizet les diverses techniques de désherbage. Tous les trois ont allié conseils agronomiques de pointe et petites astuces qui font la différence dans les champs.

La seconde partie de réunion, animée par Thomas Fleiter, Responsable betteravier, et François Prompsy, Président du Conseil de section d’Arcis-sur-Aube, était pour sa part consacrée au bilan de la campagne. « C’est le moment où l’on fait le point sur ce qui s’est passé pendant la campagne betteravière, on peut discuter des attentes du marché et bien sûr de la rémunération », explique Christophe Masson. Des prises de paroles très attendues en plaine ! « Pendant les réunions Perspectives, les planteurs veulent surtout entendre parler de ce qui se passe sur « leur » site, sur leur bassin », explique-t-il.

Autre particularité de ces réunions, elles sont organisées en plus petits comités que les Assemblées Générales facilitant la prise de parole. « C’est un moment agréable pendant lequel les coopérateurs sont proches de leurs responsables, où ils se sentent écoutés. Je suggère que l’on laisse encore plus de temps aux échanges ! », conclut Christophe Masson.