« Mesurer notre empreinte économique globale, c’est comprendre nos impacts, objectiver nos contributions, dialoguer avec nos parties prenantes, tout en faisant preuve de transparence sur notre modèle économique » a expliqué Xavier Astolfi le 11 octobre dernier à l’occasion de la présentation à la presse des résultats de l’étude réalisée avec le cabinet indépendant Utopies, spécialisé dans l’évaluation des impacts socioéconomiques.
Pour mesurer de façon objective et précise nos impacts socio-économiques en France, ce sont tous les flux financiers de Cristal Union qui ont été analysés: les achats, les ventes, les rémunérations des collaborateurs et les contributions acquittées par Cristal Union. L’ensemble des Directions du Groupe se sont mobilisées pour réunir, sur un temps très court, les informations concernant nos sites de production, notre établissement Paris-Reims, et nos filiales Cristalco, Dislaub, Goyard, Prodeva et Sidésup.
Les résultats de cette étude ont de quoi nous rendre fiers ! Les activités de Cristal Union en France nous permettent d’y créer de la valeur et de soutenir le dynamisme économique et l’emploi dans les territoires !
L’étude démontre que « Cristal Union crée de la richesse en France. Avec 1,7 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2020/21, nous avons injecté 1,6 milliard d’euros de PIB additionnel dans l’économie française, soit 3,3 milliards de création de richesse en France » souligne Xavier Astolfi.
Autre enseignement majeur de l’étude : un emploi chez Cristal Union permet de soutenir dix emplois en France, aussi bien dans les exploitations agricoles de nos planteurs, que chez nos fournisseurs, et clients, par les contributions fiscales du Groupe, mais aussi par ricochet dans d’autres secteurs où les personnes employées directement ou indirectement par Cristal Union réalisent des dépenses.
Grâce à nos activités et à nos nombreuses interactions avec nos parties prenantes, le Groupe soutient ainsi un total de 23 000 emplois en France. Nos activités ont des impacts positifs sur l’emploi dans quasiment toutes les régions et celles qui en bénéficient le plus sont les plus proches de nos sites : le Grand Est, l’Ile-de-France et les Hauts-de-France.
Notre fort ancrage territorial se reflète dans les résultats de l’étude et montre que 86 % de nos achats sont réalisés auprès de fournisseurs français, à plus d’un tiers dans le Grand Est, et près d’un quart des emplois soutenus par le Groupe est localisé sur le territoire champenois.
Les résultats de notre étude d’impact ont été mis en perspective par Sébastien Abis, directeur du club Demeter et invité au point presse : « les filières agricoles et agro-industrielles sont en en avance dans les domaines de la transition climatique et de la transition énergétique en comparaison à d’autres secteurs d’activité. Elles le sont aussi sur les questions liées au maintien dans l’emploi et au maintien de l’activité, ainsi que sur les questions liées à la production industrielle et à la bioéconomie. Les consommateurs constateront que les acteurs de ces filières n’ont pas attendu, ni le Covid, ni l’Ukraine, encore moins les poussées de la Chine, pour anticiper les besoins d’une Europe qui restera performante demain ».
Les échanges se sont conclus par un mot de Xavier Astolfi qui a rappelé que « notre contribution est essentielle à la souveraineté alimentaire, sanitaire et énergétique de la France, comme l’ont démontré les récentes crises car nous produisons des produits de première nécessité ».