Parfums Christian Dior, Givenchy Parfums et Kenzo Parfums, Maisons du groupe LVMH, annoncent leur collaboration stratégique avec Cristal Union en vue d’améliorer les pratiques agricoles de la filière betterave, à l’origine de l’alcool de leurs parfums.
Les trois Maisons financent cette année un projet visant à soutenir la transition agroécologique de 380 hectares de cultures de betterave dans le Grand Est, pour produire l’équivalent de 45 % de leurs besoins en alcool*.
Ce projet s’appuie sur l’Indice de Régénération, outil développé et vérifié par l’association « Pour une Agriculture du Vivant », permettant d’évaluer le score agroécologique des fermes et d’accompagner les agriculteurs dans leur démarche de progrès.
« Cette collaboration marque un jalon important sur le chemin tracé par le programme LIFE 360 vers la régénération de 5 millions d’hectares d’écosystèmes. La betterave tient une place prépondérante dans la chaîne d’approvisionnement du groupe d’activités LVMH Beauté. La mise en place de nouveaux modèles de production vertueux dans cette filière représente une étape clé sur le chemin de nos engagements« , souligne Hélène Valade, Directrice Développement Environnement du groupe LVMH.
En complément et pour une durée de cinq ans, LVMH finance un programme de Recherche & Développement avec Cristal Union au sein de 12 exploitations en vue de tester de nouvelles pratiques agronomiques visant notamment à :
« Chez Cristal Union, nous accordons une grande importance à la R&D agronomique et à l’accompagnement sur-mesure de nos coopérateurs dans l’évolution de leurs pratiques agricoles. Notre collaboration avec LVMH, dans ce nouveau projet dédié au développement des techniques d’agroécologie, s’inscrit dans cette démarche. » déclare Bruno Labilloy, Directeur Agricole de Cristal Union.
Dans le cadre de ces essais, les trois Maisons travailleront avec Genesis, sélectionnée par la Maison des Start-ups LVMH et récompensée à VivaTech pour son outil de mesure de l’état de santé et de la qualité des sols. Genesis sera en charge de collecter de manière régulière et géolocalisée des informations précises sur les sols dans le but d’évaluer l’impact des pratiques agricoles sur leur santé et leur contribution aux fonctions écosystémiques.
* Approche « mass balance »